Actualités coach sportif

 

Nous devons apprendre à réinterpréter le mot travail, qui ne doit plus être synonyme de souffrance et de contrainte, mais doit signifier dans notre vie : projets, construction, amour du travail bien fait, joie de vivre.

La musculation est un outil pour cela, car elle structure nos vies.

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Bonne fête du travail !

Anderson

anderson
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Bonne fête du travail (article entier)

Le concept de travail est souvent perçu comme une obligation désagréable que nous devons endurer pour gagner notre vie.

Cette perception est renforcée par les récits populaires qui décrivent le travail comme une source de souffrance, de stress, de frustration et parfois de compétition.

Cependant, il est temps de repenser cette perception et de redéfinir le concept de travail pour qu’il reflète la réalité moderne.

Le travail peut être une source de joie et de satisfaction, en particulier si nous nous efforçons de nous concentrer sur des projets passionnants et gratifiants qui nous permettent de construire quelque chose de nouveau.

Nous devons apprendre à réinterpréter le mot travail pour qu’il ne soit plus synonyme de douleur et de contrainte, mais plutôt de créativité, d’expression de soi et de réalisation personnelle.

Pour atteindre cet objectif, nous pouvons utiliser des outils qui nous aident à structurer nos vies et à atteindre nos objectifs.

La musculation, par exemple, est un moyen efficace de cultiver une discipline personnelle et d’acquérir une force mentale qui nous permettra de travailler dur et de persévérer dans les moments difficiles.

La musculation va également vous permettre de planifier vos objectifs en installant des routines sportives et alimentaires qui peu à peu envahiront positivement tous les domaines de votre vie.

La musculation est également un moyen d’investir dans notre santé physique, ce qui nous permettra de travailler plus efficacement et de manière plus durable à long terme.

En effet, le corps et l’esprit sont interconnectés, et l’entretien de notre santé physique peut avoir un impact positif sur notre état d’esprit, notre motivation et notre capacité à gérer le stress.

En cette journée du travail, il est important de célébrer notre capacité à travailler de façon à atteindre nos objectifs.

Cela ne signifie pas que nous devons accepter des conditions de travail qui nous font souffrir, mais plutôt que nous devons adopter une approche positive et proactive face à notre travail.

En effet, en repensant notre relation au travail, nous pouvons trouver un sens plus profond à ce que nous faisons et à notre vie de façon générale.

Bonne fête du travail !

Anderson

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9 ACTIONS INCONTOURNABLES POUR PERDRE LE GRAS DU VENTRE !

 

Une vie sédentaire, un mauvais sommeil, une alimentation sucrée et désordonnée : tous ces comportements, sont des facteurs de création de la graisse viscérale.

Disgracieuse et dangereuse pour la santé.

9 comportements sont à adopter quotidiennement pour s’en débarrasser :

  1. Créer un déficit calorique
  2. Manger des protéines de haute qualité sur tous les repas et collations
  3. Augmenter la consommation de fruits variés
  4. Consommer des légumes et des végétaux
  5. Couper les mauvais glucides (le sucre)
  6. Consommer des lipides
  7. Pratiquer des exercices de force et de musculation
  8. Effectuer des exercices aérobiques
  9. Boire suffisamment d’eau

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9 ACTIONS INCONTOURNABLES POUR PERDRE LE GRAS DU VENTRE ! (article intégral)

Trois facteurs contribuent à la prise de poids et plus précisément à l’accumulation des graisses :

  1. Avoir une vie sédentaire (pas d’activité physique)
  2. Ne pas dormir assez ou avec des horaires aléatoires ou fractionnées
  3. Avoir une alimentation débridée (industrialisée, glucidique et sans horaires fixes)

Pourquoi ?

Parce que les calories qui ne sont pas utilisées comme forme d’énergie par l’organisme, se convertissent en graisse dans le corps. Comme si le corps se créait un stock d’énergie.

Et, si ce stock n’est pas utilisé, la graisse s’accumule, et affecte inévitablement la santé.

Il existe deux types de graisses :

  1. Celle qui se crée entre la peau et le tissu musculaire. Elle peut apparaître dans n’importe quelle partie du corps. Les bras, les jambes, la poitrine,
  2. L’autre est plus dangereuse, car elle se crée dans les viscères, la fameuse graisse viscérale. Elle se concentre dans la région abdominale, entre les organes et est responsable du « gros ventre ». En plus de la gêne visuelle créée par la dilatation du ventre, la graisse viscérale
    peut entraîner de nombreux problèmes de santé et affecter le fonctionnement des Pouvant même être un facteur de décès dans certaines circonstances.

La graisse viscérale peut générer des complications graves pour la santé.

Comment se débarrasser de la graisse viscérale ?

Anderson a énuméré les neuf attitudes nécessaires et incontournables pour combattre et prévenir cette accumulation de graisse.

Alors, let’s go ?

  1. Créer un déficit calorique. Maxi un déficit de -250 Kcal par jour ! Car il est important de le faire de manière graduelle et de consulter un professionnel de la santé pour obtenir des conseils personnalisés.
  2. Manger des protéines de haute qualité sur tous les repas et collations. Les protéines vous permettent de maintenir votre masse musculaire. Ce qui augmentera votre métabolisme en consommant
    des calories même au repos.
  3. Augmenter la consommation de fruits variés. Mais attention aux quantités ! Les fruits, dans leur grande majorité, ont des facteurs antioxydants, une grande concentration de fibres et un faible indice glycémique. Facteurs qui, selon Anderson, aident à combattre la graisse viscérale. Commencez à inclure des fruits dans votre alimentation et vous remarquerez que la mensuration de votre ventre va se réduire peu à peu. Les experts indiquent la consommation de trois fruits en particulier : ananas, pomme et
  4. Consommer des légumes et des végétaux. Comme les fruits, les légumes et tous les végétaux sont riches en fibres. Les fibres sont un élément fondamental pour réguler le système digestif et favoriser le combat contre la graisse viscérale. Elles vont faire en sorte que le processus enzymatique digestif fonctionne mieux.
  5. Couper les mauvais glucides (le sucre). Comme les bonbons, les gâteaux et la majorité des produits transformés. Mais, n’ayez pas peur des bons glucides, utiles pour l’organisme ! Continuez à manger des aliments tels que le riz,
    l’avoine, les patates douces et même les pommes de terre, mais en faisant attention à la quantité et au mode de cuisson. Anderson rappelle que les glucides sont fondamentaux pour donner de l’énergie musculaire mais pas que…Zéro glucide est l’une des principales erreurs de ceux qui veulent éliminer la graisse
  6. Consommer des lipides. Les lipides bons pour la santé peuvent vous aider à perdre du gras. Voici quelques exemples de bons lipides : l’huile d’olive, les avocats et les noix. Ils se trouvent aussi dans les poissons gras comme le saumon, les sardines et les maquereaux. Et, dans les graines de lin, les graines de chia et les huiles de graines de coton. Attention ! Il est important de noter que même les bons lipides doivent être consommés avec modération. Trop de lipides peut entraîner un gain de poids et augmenter les risques de maladies cardiovasculaires car le trop est toujours l’ennemi du bien.
  7. Pratiquer des exercices de force et de musculation. Pour augmenter la masse musculaire la meilleure solution est la musculation. « Construire du muscle, c’est augmenter la dépense calorique » rappelle Anderson : « Selon mon expérience dans le coaching et les différentes formations suivies, j’affirme que pousser d’une façon consciente de la fonte, va forcément augmenter ton métabolisme de base et t’aider à te débarrasser de la graisse viscérale.
  8. Effectuer des exercices aérobiques. Courir, nager, faire du vélo ou toute autre activité qui accélère les battements cardiaques et améliorent la circulation sanguine, sont d’excellents alliés pour brûler les graisses. Cependant, les personnes avec peu de masse musculaire doivent faire attention aux exercices aérobiques, car elles courent le risque de perdre du poids sur la balance mais de conserver la vilaine graisse sur le ventre (faux maigre).
  9. Boire suffisamment d’eau. L’eau aide à éliminer les toxines du corps. Si vous ne buvez pas suffisamment d’eau, votre corps peut retenir les toxines, ce qui entraîne une rétention d’eau et un gonflement. L’eau augmente votre métabolisme car environ 3/4 du muscle est composé d’eau. Anderson rappelle : « Il est recommandé de boire environ de 30 à 50 ml d’eau par kg de poids du corps par jour. Assurez-vous de boire suffisamment d’eau pour maintenir une bonne hydratation et favoriser la perte de poids ».

Anderson rappelle que chacune de ces actions n’est pas à mener individuellement, mais concomitamment. Le mieux est de mettre en place des routines hebdomadaires et quotidiennes, alimentaires et de sport en utilisant éventuellement une appli mobile.

C’est le moment de prendre le volant de votre vie et d’arrêter de culpabiliser la génétique.

Go Go GO

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LA PARESSE EST-ELLE CAUSEE PAR DES BACTERIES ?

Une équipe de chercheurs de l’université de Pennsylvanie a identifié une des raisons pour lesquelles tous les individus ne sont pas égaux devant l’envie de faire du sport.
Pour faire simple, l’effort physique libère une molécule, appelée la dopamine dans la zone du cerveau chargée du plaisir (stratium). Plus active et nombreuse est la dopamine, et plus l’individu a du plaisir à faire du sport.
Comme le corps est complexe, il existe une enzyme dans cette même zone, qui dégrade la dopamine.
Pas de dopamine, pas de motivation à faire un effort physique !
Ces chercheurs ont identifié plusieurs bactéries intestinales chargées de transmettre au cerveau une information qui inhibe cette enzyme, laissant alors libre cours à la dopamine, pour nous donner envie de faire du sport !
Ainsi, plus tu privilégieras des aliments sains et non transformés, et plus ta flore intestinale sera en mesure d’abriter les bactéries nécessaires à ta motivation !
Une alimentation variée, équilibrée, naturelle et non industrielle est indispensable à un microbiote sain.
« Nous sommes ce que nous mangeons » est un principe que la science permet aujourd’hui de démontrer.

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LA PARESSE EST-ELLE CAUSEE PAR DES BACTERIES ? (article intégral)

Comment nos bactéries intestinales impactent notre envie de faire du sport ?

Faites du sport, c’est bon pour la santé ! Cette injonction clamée par de nombreuses campagnes de prévention est pourtant plus facile à dire qu’à faire, la capacité à faire du sport dépendant en grande partie de la motivation.

Mais d’où vient cette motivation ? Elle vient d’une molécule, la dopamine, qui, pendant un effort physique, est relâchée dans le striatum, une zone de notre cerveau impliquée notamment dans les impulsions… et la motivation.

La dopamine, aussi appelée hormone du bonheur, est un neurotransmetteur. C’est-à-dire qu’elle transmet une information entre deux neurones au niveau de zones de contact nommées synapses.

Lorsqu’elle est reçue en grande quantité par le neurone récepteur, c’est un signal de plaisir. Puisque ce plaisir est perçu pendant l’effort physique, le système de la récompense est activé et nous pousse à vouloir refaire du sport.

Jusque-là, on se dit que la nature est bien faite.

Mais nous ne sommes pas tous égaux face à la motivation.

Pourquoi certains d’entre nous se disent « accros » au sport quand d’autres peinent à se mettre à l’effort ?

C’est ce à quoi ont voulu répondre des chercheurs de l’université de Pennsylvanie en comparant les performances physiques au sein d’une cohorte de souris. S’ils n’ont pas trouvé de gène spécifique de la force physique, un résultat a retenu leur attention. Les souris pour qui le microbiote (l’ensemble des bactéries bénéfiques colonisant notre intestin) a été supprimé présentaient des mauvaises performances sportives comparées à leurs congénères.

En testant les effets de la suppression de certaines souches bactériennes, ils ont pu identifier que certaines d’entre elles, comme Eubacterium ou Coprococcus, avaient un effet positif sur la motivation à faire du sport.

De la dopamine en quantité

Mais comment ces bactéries parviennent-elles à jouer sur nos performances physiques ? Les chercheurs américains ont montré qu’elles stimulent le relargage de la dopamine dans le striatum pendant l’effort.

En effet, certaines bactéries relarguent des molécules au nom barbare de N-oleoylethanolamide. Ces métabolites vont être captés par des neurones sensoriels qui relient notre intestin à notre cerveau (à travers la moelle épinière). Ils vont plus spécifiquement se lier à des petits récepteurs présents sur la partie terminale intestinale des neurones et ainsi favoriser leur activation pendant le sport.

Or, lorsqu’ils sont actifs, les neurones sensoriels inhibent dans le striatum la production d’une enzyme nommée monoamine oxydase (MAO). Cette enzyme est responsable de la dégradation de la dopamine au niveau des synapses. Lorsque l’enzyme est absente, la dopamine est maintenue en quantité suffisante pour induire un signal de plaisir. En activant les neurones sensoriels pendant l’effort, les bactéries garantissent donc la présence d’une quantité importante de dopamine dans le striatum, et donc un sentiment de plaisir qui va par la suite motiver à faire du sport.

N’est-ce pas le moment de commencer à prendre soin de tes intestins ?

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LA MUSCULATION, MYTHES ET VERITES

La musculation est souvent mal perçue par le grand public.

Les hommes craignent d’être trop musclés, ou de se blesser.

Les femmes ont peur d’une « hyper-masculinisation ».

Il me semble utile de rassurer toutes les personnes qui pensent qu’en s’entraînant deux à trois fois par semaine, elles vont voir « pousser » les muscles de leurs jambes, des bras ou autres…

Pour arriver à avoir le corps d’un athlète, il faut de nombreuses heures d’entrainement, une diète, une régularité sans failles et des années de discipline avec plusieurs taxes journalières non négociables.

Au-delà de l’aspect corporel (une identité physique rassurante et une composition corporelle agréable à regarder), plusieurs études ont démontré le rôle protecteur du renforcement musculaire contre les pathologies chroniques : diabète, maladies cardiovasculaires, cancer, maladies respiratoires chroniques, troubles mentaux, etc.

L’OMS dans ses directives de 2010 préconise les exercices de renforcement musculaire avec une tension mécanique à l’aide de poids, de machines, de bandes élastiques ou avec le poids du corps, avec une synergie de besoin nutritionnel.

Le renforcement musculaire est particulièrement adapté à la prévention de la sarcopénie (une diminution de la masse musculaire) qui sera bientôt considérée comme le mal du siècle.

Et, au déclin du fonctionnement cognitif qui est un syndrome dans lequel on observe une dégradation de la mémoire, du raisonnement, du comportement, et l’inaptitude à réaliser les activités quotidiennes.

Ce sont des causes principales de handicap et de dépendance dans le monde, principalement chez les personnes âgées mais pas seulement !

Des études de cohortes prospectives ont aussi montré que le renforcement musculaire augmente la masse/force des muscles squelettiques, la densité minérale osseuse et la santé cardiométabolique.

Il réduit aussi les symptômes d’anxiété et de dépression en diminuant de 80 % l’utilisation de médicaments (psychotropes).

Voilà ! Qu’est-ce que tu attends pour prendre la décision pour ta future indépendance ?

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